Après avoir visionné deux versions du film THE MANCHURIAN CANDIDATE 1962 et 2004, je ressens vraiment beaucoup le mystère et l’hypocrisie de la politique. Le contexte de la version 1962 est l’anticommunisme sous l’environnement de Guerre Froide, et celui de la version 2004 est une conspiration politique suite à la Guerre de Gulf avec une ambiance générale d’anti-terrorisme. On peut constater qu’un enjeu politique a toujours besoin d’un prétexte pour diriger l’attention de public. Les politiciens sont trop intelligents que l’on pourrait imaginer, et ils se servent des techniques d’image-building et beaucoup des proies politiques pour acquérir plus de pouvoir.
Certes, on doit faire l’éloge de Capitaine MARCO, qui s’avère très courageux de nous dévoiler un tel mensonge politique. Ça donne beaucoup de significations. Même si au début, lui-même, est totalement confus de la situation, d’autant plus qu’il souffre aussi des contrôles et des manipulations. Cependant, les scénarios pourraient être seulement des imaginations plutôt pessimistes par l’auteur. On ne peut pas le justifier, peut-être que la politique est plus obscure que ça, et aussi moins mystérieuse que ça.
Mais le film Good Night and Good Luck mis en scène par George Clooney, nous a raconté une vraie histoire et nous a introduit un vrai militant. Le journaliste Edward. R.Murrow était très conscient du danger de s’exposer sous le contexte de maccarthysme. Le réalisateur a utilisé un style tout simple, noir et blanc, caméra long, montage de vidéo documentaire, et toutes les scènes sont à l’intérieur, cohérents, rendant l’histoire plus provocante, profonde. Le film nous fait comprendre la force antiautoritaire de personnage,
1 Quel rôle joue-t-elle le personnage de Rosie dans la version 2004 ? Je suis un peu confus. Si elle est vraiment FBI, pourquoi elle travaille avec l’assistant de Raymond ? Quel est son rapport avec l’entreprise Manchurian ?
2 Certains spectateurs du film MANCHURIAN CANDIDATE pensent que le vrai manipulateur est la côté militaire. Vous êtes d’accord ?
3 Face au maccarthysme, quelle était la réaction de public pendant cette époque-là ?
The Manchurian Candidate fait partie du genre cinématographique, appelé film noir, qui a fleurit durant les périodes les plus intenses de la Guerre Froide. Ces films ont souvent une narrative, une intrigue et un style visuel distinct. En outre, cette catégorie de film est reconnue pour sa vision critique, qu’elle soit explicite ou implicite, de la société. Pour animer la discussion de cette semaine, je vous propose donc les questions suivantes :
1. O’Meara et al. , citant Comolli et Narboni, indique que le genre film noir entre dans la catégorie des « films which seem at first sight to belong firmly within the ideology and to be completely under its sway, but which turn out to be so only in an ambiguous manner » (p.4). Dans ce cas, pensez-vous que le film The Manchurian Candidate Ttente d’exposer la paranoïa anticommuniste ou est-ce que le film cherche au contraire à légitimer l’existence d’une menace réelle ? Ou bien existe-il dans le films des éléments qui soutiennent ces deux discours ?
2. Comment le contexte de la Guerre Froide a t-il influencé le cinéma américain mais aussi la conception de la guerre ?
This sleek and supple thriller features powerhouse performances, but never quite persuades us that it has anything to add to the Cold War classic starring Frank Sinatra and Angela Lansbury. Director Jonathan Demme ably creates a believably creepy atmosphere and there are some great visual effects, especially Shaw's hotel room, which includes an infinitely refractive illusion in a picture that hangs over the bed. Streep is mesmerizing.
But some of it gets overheated, especially a mad scientist who of course has an English accent and is scrupulously polite and a murder assignment that makes no sense as a matter of logistics. And the big reveal about the bad guys does not have the same punch of the original; it is not as successful at tapping into the fears of the moment.
A polished remake of a 60s classic, The Manchurian Candidate modernises the original without ever equalling it. Tapping into contemporary fears, the Commies are replaced by corporations as the mind-controlling boogeymen who plan to install their drone, Raymond Shaw (Liev Schreiber), as Vice President. A hero of the first Gulf War, he appears an ideal candidate, until fellow veteran Ben Marco (Denzel Washington) starts investigating the source of their shared nightmares...
Schreiber excels. An actor whose hard-edged, hawkish features are undercut by a jittery vulnerability, he's perfect playing someone who is never quite himself. His confused, conflicted character gives heart to Jonathan Demme's thriller, even when it becomes somewhat overripe and mechanical. It's an Oscar-worthy turn. Washington, of course, already has two Golden Baldies and is as charismatic and enjoyable as ever, offering a variation on his hard-drinking, haunted soldier from Courage Under Fire. Then there's Meryl Streep as sinister senator Shaw, pulling strings for her son and chewing scenery as a Hilary Clinton clone with an unsettling, incestuous edge.
"THERE'S NOTHING TO MATCH THE DELIRIOUS GENIUS OF THE ORIGINAL"
It's a cast to kill for, but The Manchurian Candidate isn't consistently on target. There are arresting moments - the painted ladies brainwash sequence; the atmospheric lakeside assassination - but nothing to match the delirious genius of the original's tea party scene.
And while the first film could be read as a satire on American fears of a red menace, this version takes itself very seriously indeed, with characters super concerned that Schreiber could prove the first privately owned US VP. Given the controversy that surrounded Fahrenheit 9/11's allegations of political chicanery, this idea feels up-to-date but not very daring. Like your dad trying to be rebellious, The Manchurian Candidate is admirable but never cool.